On associe souvent au terme « d’utopie » l’image d’une société idéale, c’est ainsi qu’il fut défini par Thomas More. Il a la double signification de « lieu qui ne se trouve nulle part », ou de « lieu heureux ».
* La métropole n’est pas seulement un objet de spéculation abstrait, incertain et mondialiste. Elle peut faire l’objet d’un travail de projet concret, précis et localisé – en croisant des problématiques d’urbanisation, de mobilité et de paysage. « Utopies métropolitaines » est une unité d’enseignement de l’Ecole National Supérieure d’Architecture de Nantes. Le principe de cet enseignement est non seulement de susciter l’émergence de projets alternatifs sur les territoires étudiés mais aussi d’imaginer des formes d’utopies permettant une transformation et une optimisation des pratiques existantes, avec parfois la volonté de construire des modes de vie résilients, adaptés aux secousses économiques et environnementales que nous connaissons notamment à travers les bouleversements climatiques, les crises financières, etc. « Utopies Métropolitaines » est proposée et dirigée par Pascal Amphoux, architecte géographe.